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20 juin 2011 1 20 /06 /juin /2011 22:03
Eléphants/ Seul Africain à marquer un but devant le Brésil Didier Drogba célébré à Aboboté La jeunesse d’Aboboté a célébré l’anniversaire du but de Didier Drogba face au Brésil au Mondial 2010. Folle ambiance au stade Stamford Bridge d’Aboboté pour célébrer le premier anniversaire du but de Drogba Didier marqué lors de la coupe du monde 2010 face au Brésil. Seul africain à marquer un but au Brésil, bête noire de tout le continent noir, Drogba Didier a été fêté à travers un match de gala qui a mis aux prises le Maracana Club de Aboboté et celui de Angré. Pour Roger Kouamé, initiateur de cet évènement, le capitaine des Eléphants doit être magnifié car, il est entré dans l’histoire du football depuis le 20 juin 2010 au stade Soccer City d’Afrique du Sud en marquant devant la Seleçao. « Je suis heureux et ému d’avoir réussi cette fête. Et nous faisons le pari de le répéter chaque année car, pour nous Drogba est un Dieu d’où son nom Drogba Didieu. Il mérite respect, considération et honneur de la part des Ivoiriens », a-t-il ajouté. Acquis à la cause du buteur de Chelsea et des Eléphants, le quartier Aboboté est sorti nombreux pour suivre ce match de gala. Et au terme d’une rencontre palpitante riche en émotion, c’est l’équipe hôte qui a eu raison des visiteurs 2-1. C’est en fanfare que la fête a pris fin en faisant la promesse de se retrouver l’année prochaine pour la deuxième édition. Jean-Michel Méa
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17 juin 2011 5 17 /06 /juin /2011 14:39

Ils sont 21 jeunes munis d’une mission sacrée : conduire le drapeau ivoirien à la 14è édition de la coupe du monde des cadets, au Mexique du 18 juin au 10 juillet prochain.

 

Gouaméné Alain, le coach a arrêté la liste des Eléphanteaux qui seront au Mondial dans quelques jours. Sur 21, on note l’entrée de 8 nouveaux, en plus du contigent qui était au Rwanda en janvier de dernier pour la coupe d’afrique des nations. La Côte d’Ivoire, seul pays à avoir le plus gros contigent de professionnel devra batailler dur dansd la poule F avec le Brésil, l’Australie, la Corée du nord et le Danemark.

LISTE DES JOUEURS RETENUS


         GARDIENS DE BUT
1-    DJEH YAO SEVERIN SOA (COTE D’IVOIRE)
2-    OUATTARA ABOUBACAR SOA (COTE D’IVOIRE)
3-    KONATE HILLEL YORED SOCHAUX (FRANCE)


         DEFENSEURS
4-    BAH IBRAHIM SEFA (COTE D’IVOIRE)
5-    KARAMOKO LOSSENI OSA (COTE D’IVOIRE)
6-    COULIBALY SALIF AFAD (COTE D’IVOIRE)
7-    TRAORE MEHOUE SEWE SPORT SAN PEDRO (COTE D’IVOIRE)
8-    KONE MORY LE MANS (FRANCE)
9-    THOME YOBOU JEAN NOEL ACADEMY ASPIRE (QATAR)


           MILIEU DE TERRAIN
10-    AHOLOU EUDES IVOIRE ACADEMIE (COTE D’IVOIRE)
11-    ANGBAN VICTORIEN STADE D’ABIDJAN (COTE D’IVOIRE)
12-    SOUNGOLE SOUNE DANIEL AS ATHLETIC (COTE D’IVOIRE)
13-    GNAHORE WILFRIED DESIRE NOT FOREST (ANGLETERRE)
14-    KOUAME DORIAN GUINGUAMP (FRANCE)


            ATTAQUANTS
15-    KOUASSI EVRARD MOOSSOU FC (COTE D’IVOIRE)
16-    DIARRASSOUBA DRISSA IVOIRE ACADEMIE (COTE D’IVOIRE)
17-    BEDI GUY STEPHANE AFAD (COTE D’IVOIRE)
18-    LAGO ANGE LIONEL ASPIRE QATAR (QATAR)
19-    COULIBALY SOULEYMANE SIENNE (ITALIE)
20-    ANDERSON BANVO PSG (FRANCE)
21-    KIMMAKON JEREMY CHATEAUROUX (FRANCE)

 

Jean-Michel Méaele

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17 juin 2011 5 17 /06 /juin /2011 14:03

Les Eléphanteaux rassurent

En obtenant un match nul (1-1) face au Football Club de Aulnay (Fca) en match amical lors des préparatifs de la coupe du monde cadet en France samedi dernier, les éléphanteaux se rassurent. Gouaméné assoit peu à peu son équipe.

 

  Les nouvelles en provenance de  Eaubonne en France ou les Eléphanteaux sont en préparation depuis le 25 mai pour la coupe du monde, sont bonnes. Samedi dernier, après seulement deux jours de travail les cadets ivoiriens ont livré leur premier match amical contre Football Club de Aulnay. Malgré le nul (1-1), Gouaméné Alain le coach est reparti satisfait. « Je suis satisfait de la production de mes joueurs après seulement deux jours de travail ». A-t-il déclaré après le match.

  En fait, cette rencontre a permis au Directeur Technique National (DTN), Jean Marc Nobilo et Gouaméné Alain d’apprécier le résultat du travail physique effectué pendant deux jours. Et là, les deux techniciens se réjouissent de la performance de l’équipe. 90 minutes de prestation ont suffit pour avoir une idée nette de l’effectif.

   La première mi-temps disputée par les joueurs venus d’Abidjan a laissé entrevoir de très belles dispositions techniques tactiques et surtout physiques. C’est à juste titre qu’Angban Bécanthy le capitaine a ouvert le score dès la 11 ème minute. Après ce but, les éléphanteaux ont imposé un rythme très dense aux jeunes français jusqu’à la pause.

 

Un Ivoirien « tue » les Ivoiriens

 

A la reprise Gouaméné et Nobilo ont mis en scelle le deuxième groupe composé « d’expatriés » (joueurs retenus lors du stage en France). Ces derniers moins percutants que la première équipe ont souffert durant les 45 dernières minutes.

 Après plusieurs offensives  du Fca, les jeunes français obtiennent  l’égalisation à la 86ème minute grâce à Sam Yannick, le fils de Sam Abouo Dominique, ancien défenseur de l’Asec et des éléphants. Venu pour un test, le jeune Sam a impressionné le staff des éléphanteaux.

   Le DTN Nobilo a exprimé sa joie de voir le progrès effectué par ses poulains en 48 heures de travail. Il se veut rassurant à 10 jours du début du Mondial. « Sur le plan technique, ce n’est pas l’idéal. On part dans l’inconnu. Mais, il y aura de belles surprises pour les adversaires. Il le faut pour le bonheur des Ivoiriens ».

 Le staff a encor quelques jours pour peaufiner les derniers réglages avant de regagner Mexico. En terre Mexicaines les éléphanteaux livreront deux matchs amicaux, le 8 juin face au Mexique et le 13 ils défieront l’Angleterre. Ces rencontres ont pour objectif de préparer la première sortie des éléphants le 20 Juin face à l’Australie.   

 

 Jean-Michel Méapic1294854824[1]

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17 juin 2011 5 17 /06 /juin /2011 13:57

Mondial cadets 2011-06-17 Le monde entier aura les yeux rivés vers le Mexique où se déroulera la 14è édition de la coupe du monde des cadets. Du 18 juin au 10 juillet, la jeunesse mondiale sera en attraction. Elle devra livrer des batailles rudes sur les rectangles verts mexicains. Six stades ont été affectés pour ce grand rendez-vous planétaire du football des jeunes : Morelia, Monterrev, Guadalajara, Pachuca, Torréon et Queretaro. 24 pays venus des coins du monde sont prêts à combattre. Après un sprint effréné, un seul aura le bonheur de brandir le trophée de vainqueur

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26 mai 2011 4 26 /05 /mai /2011 22:14
Le Claire Fontaine Ivoirien Bâti sur plus de quatre hectares, le Centre Technique National de Football, véritable joyau architectural, a vu le jour grâce à la collaboration entre la FIF et la FIFA à travers le projet Goal. Situé à Bingerville, le Claire Fontaine ivoirien grandit petit à petit grâce au dynamisme d’Ali Boguifo Ignace, son directeur. C’est Bingerville, ville historique (première capitale de la Côte d’Ivoire) qui abrite le Centre Technique National (CTN). Malgré le relief accidenté de la sympathique ville située à quelques kilomètres d’Abidjan, la FIF a pu obtenir un terrain plat pour asseoir le CTNF considéré comme le Claire Fontaine ivoirien sur plus de quatre hectares avec la générosité du centre des métiers de l’électricité. C’est là bas, dans ce quartier calme et paisible en bordure de la lagune Ebrié, à quinze minutes de marche à partir de la voie principale venant d’Abidjan, que se dresse fièrement le « Anouma’s Dream ». CTNF : Le Anouma’s Dream Le Centre Technique de Football de Bingerville est considéré comme le « Anouma’s Dream », le rêve de Anouma, le président de la FIF. En fait, ce projet lui tenait sinon tient tellement à coeur qu’il l’attendait comme un bébé. A la cérémonie d’inauguration, il a déclaré « Ce projet est l’accomplissement d’un projet qui consiste à réaliser un véritable camp d’entraînement pour nos équipes nationales et même pour les clubs engagés dans des compétitions africaines ». Son rêve s’est réalisé. Mais, d’où proviennent les fonds qui ont permis à réaliser cet immense rêve ? La réponse est simple. C’est le résultat de son bon travail à la tête de la FIF. En effet, depuis son arrivée, il s’est donné comme objectif de construire le football national. Pour le faire, sa stratégie est « Faire de l’équipe A une vitrine. Et avec les ressources rassemblées, nous financerons notre football ». Car avouons le, participer à des compétitions internationales telles la coupe du monde fait engranger des milliards. Il suffit seulement d’y être pour revenir avec au moins quatre milliards. Et surtout, avec nos vedettes telles Didier Drogba, Yaya Touré, Kolo Touré, Zokora Didier et autres Kalounho, certaines entreprises n’hésitent pas à joindre leurs images à l’équipe nationale. Ainsi, grâce au dynamisme et à la clairvoyance du président Anouma, la côte d’Ivoire a pu être admise au projet Goal de la FIFA. Un projet qui consiste à aider les fédérations dans leur volonté de construire leur football à travers la construction d’infrastructures modernes. Sur les 400 projets Goal, 120 sont réservés à l’Afrique. Aujourd’hui, la plus haute instance du football a reconnu le travail des responsables fédéraux. D’aucuns, pendant longtemps, ont décrié le fait que la FIF a délaissé le championnat national pour se consacrer uniquement aux Eléphants. Avec le centre, ils ont eu la réponse à leurs préoccupations. Et l’homme fort de la Maison de verre l’a bien compris. Emanation des clubs, Jacques Anouma leur a adressé un message fort lors de l’inauguration. « Chers présidents de clubs, ce centre est à nous tous, merci de nous unir autour de ce joyau pour assurer ensemble le développement de notre football », a dit-il lancé à ses électeurs. Ce grand ouvrage a coûté plus de 700 millions dont 369 millions grâce au Goal 1 (200 millions) et le Goal 2 (169 millions). Le reste des charges a été assurée par l’argent du mondial 2006. Toujours engagé sur le chemin du développent, la FIF a bénéficié du Goal 3 pour renforcer les capacités de Goal 1 et 2. Sans oublier l’apport du président de la confédération africaine de football à hauteur de cent milles Dollars américains dans le cadre du projet Goal 2. Le Claire fontaine est aujourd’hui la fierté du monde sportif ivoirien Comme l’a dit Mohamed Bin Hamman, président de la confédération asiatique de football lors de la cérémonie d’inauguration « A vous Ivoiriens, le président Blatter a un regard sur vous. Il est fier de votre pays ». En effet, une chose est de bénéficier du Goal, mais une autre est d’entretenir cet ouvrage confié à Ali Ignace pour la gestion quotidienne. Un cadre enchanteur Sorti de l’imagination généreuse du cabinet Koffi, le CTNF s’étend sur plus de 4 hectares. Pour rallier ce lieu, il vous faudra 10 à 15 minutes de marche à partir de la voie principale entrant à Bingerville. Sur une piste rougeâtre tout de même praticable, les pancartes vous aideront à retrouver le lieu. L’imposant mur sur lequel est inscrit dans les couleurs nationales « CENTRE TECHNIQUE NATIONAL DE FOOTBALL » vous indique bien que vous être dans l’antre des Eléphants. Une fois le portail franchi, vous êtes frappés par le beau décor. Les bâtiments en Orange et Blanc dans le décor Vert de la verdure attestent de l’amour de la nation Ivoire à qui les responsables fédéraux veulent offrir un football compétitif et conquérant. Au centre est dressé le bâtiment qui abrite les bureaux de l’administration avec un parking goudronné où est garé fièrement le beau car des Eléphants. C’est là dans ce bâtiment que le directeur, ancien banquier de son état, conçoit ses plans d’actions pour promouvoir le « Anouma’s Dream ». A votre gauche, se trouve un autre bâtiment, le magasin où sont stockés les équipements et autres matériels servant à l’entretien des lieux. L’étroite route noirâtre mène droit à l’hôtel et au restaurant. En face de l’administration, s’étend une somptueuse piscine clôturée. Tout autour se dresse un espace vert agréablement entretenu. A droite, de cette piscine, vous trouverez des espaces de jeu clôturés par un gigantesque grillage destinés aux sports de mains. Cependant, un filet vieillissant de tennis installé sur l’un montre bien que ce sport n’est pas assez prisé dans ces lieux. Aux dires d’un collaborateur du Directeur des lieux, ces deux espaces seront bientôt détruits pour aménager des terrains de football, parce que simplement inutilisés. Entre ces deux clôtures se trouve une piste qui vous mènera droit sur la pelouse d’un terrain de foot plus petit avec une pelouse bien tondue. A coté, un autre espace de jeu, clôturé en mur sur un mètre et en grillage pour la suite. L’air de jeu sableux et les poteaux de maracana installés attestent bien de la pratique de ce sport. A propos du terrain de football proprement dit. Bien que non synthétique, ce terrain n’a rien à envier à celui du Parc des sports. Le gazon est entretenu par une équipe compétente. Ici, en véritables artistes, les jardiniers ont fait montre de leur maestria dans l’entretient dugazon. Deux vestiaires, propres et vastes supportent sur la tête une tribune, la seule avec plus de cent places assises. En quittant la piscine pour rejoindre l’hôtel un peu plus au fonds du centre, vous contemplerez des espaces verts aménagés avec des bancs en béton pour un repos mérité. Un de ces espaces porte les lettres « JSB ». La pancarte majestueusement plantée vous indique « Espace Joseph Sepp Blatter », en hommage au président de la FIFA pour son soutien sans faille au développement du football Eburnéen. Dans le fond, se loge un dernier bâtiment qui est le restaurant. Avec ses portes en vitre, il sert de réfectoire. A 20 mètres, se trouve la lagune. Sa proximité fait souffler un vent doux et humide en plus du sable fin qu’il offre gracieusement. Autant de cadeaux du ciel qui ont inspiré M. Ali le directeur à aménager une plage pour le repos et des compétitions de Beach Soccer. Les voies qui assurent les liens entre les différentes parties du centre sont soit goudronnées ou cimentée. En somme, ce sont, un bâtiment de 10 bureaux plus une salle de réunion, une piscine en réhabilitation, un terrain de football avec une tribune de plus de 250 places assises, un bac à sable pour les endurances, un bâtiment R+1 avec plusieurs chambres pouvant accueillir plus de 46 personnes, une salle de musculature, de jeu, de réunion, une infirmerie et deux autres bureaux, un petit terrain de football 40mx40m, un cours de tennis goudronné, un espace goudronné pour les sports de mains, un restaurant et une plage de 116m x 36m qui se partagent merveilleusement les 4 hectares du centre technique de Bingerville Un reportage de Jean-Michel Méa mealesport@yahoo.fr 225 06 576 576 Photos Jean Momboye 4 QUESTIONS à Ali Boguifo Ignace (Directeur du CTNF): "Nous sommes impatient de réaliser nos rêves" 1-Quel est l’état des lieux depuis votre nomination à la tête du centre ? Comme vous le voyez après les Goals 1 et 2 qui ont permis de réaliser les premiers travaux, nous poursuivons les travaux avec le goal 3 pour renforcer la capacité d’accueil de l’hôtel en plus d’une salle de réunion, une salle de gymnastique, 2 bureaux et l’équipement des chambres. 2-Quel est votre plan d’action ? Notre souci premier est de maintenir les acquis. Nous avons la lourde responsabilité de gérer ce joyau. Et donc, il nous faut le préserver. Ensuite, il faut le développer. Tout n’est pas parfait ici. Il faut donc ajouter d’autres infrastructures pour être plus opérationnel. Enfin, le centre doit être rentable pour assurer notre autonomie financière. Nous pensons ouvrir nos portes au public pour abriter des mariages, des réunions, séminaires, colloques et mêmes des compétitions. Nous nous ouvrirons aussi aux fédérations sœurs d’ici comme d’ailleurs ou à des équipes nationales étrangères pour des regroupements. 3-Vous parlez de rentabiliser le centre en l’ouvrant au public pourtant vous refoulez des particuliers qui vous sollicitent. Oui c’est vrai, pour le moment, nous refusons toutes sollicitations. La raison est simple. Nous sommes débordés par les activités de la FIF. Nous recevons en moyenne toutes les semaines soit une Sélection (cadette, junior et senior), des stages de formation ou des séminaires. Et malheureusement, nous en avons encore pour longtemps vu les CAN 2012, 2013, le Mondial cadet 2011, senior 2014, sans oublier les autres compétitions sous régionales et autres activités de la FIF. Mais on n’y peut rien, les activités fédérales et les Sélections nationales sont prioritaires. C’est pour elles que nous sommes là. Toutefois, il nous faut ouvrir nos portes au public pour notre autonomie financière. Nous travaillons pour arriver à satisfaire et la FIF et le public. D’où la nécessité de renforcer nos acquis. 4-Quelles sont les difficultés que vous rencontrez dans vos tâches quotidiennes ? Nous n’avons pas de difficultés particulières. Sauf que nous sommes confrontés à des problèmes de trésoreries au niveau de la Fif. Or pour le moment, nos fonds viennent exclusivement d’elle. Malheureusement ses charges sont énormes. Nous sommes donc impatients de réaliser nos rêves. Comment équiper nos chambres en télévisions, goudronner les voies pour sillonner le centre etc... Tels sont nos préoccupations qui seront, nous l’espérons, résolues très vite. Nous aurions souhaité que le Goal 4 qui est arrivé nous soit destiné. Mais il y a d’autres exigences qui obligent le président Anouma à orienter ses fonds à d’autres fins. Jean-Michel Méa mealesport@yahoo.fr 225 06 576 576
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26 mai 2011 4 26 /05 /mai /2011 22:06
Le Palais des Sports de Treichville est plongé dans une agonie depuis des années et n’attend plus que la mort. L’Afro basket, avec le président Korée Moîse, qui devrait le ramener à la vie n’a pu avoir lieu pour des raisons de crise. Hélas ! Le Palais des Sports se meurt. Son coma plus que quinquennal s’est mué en une si longue agonie que l’inquiétude s’est emparée des sportifs ivoiriens. Situé en plein cœur de la populeuse et historique commune de Treichville en bordure du boulevard Valéry Giscard d’Estaing (VGE), le Palais qui n’a plus rien de royal tend vers une fin honteuse malgré son passé prestigieux. Triste réalité Fierté nationale autrefois, le Palais crée en 1978 n’est plus qu’une porcherie médiévale enterrée dans le cloaque du Parc sous le regard impuissant des sportifs et celui insouciant des responsables de sa gestion. Il n’est plus qu’un temple insalubre. Hélas ! Sa belle peinture qui lui donnait un beau décor de loin est délavée par la pluie belliqueuse et le soleil aride d’Abidjan. Les gestionnaires se sont comme totem de lui administrer une nouvelle couche de peinture. Son dôme, c'est-à-dire sa grande cuvette lui servant de toiture qui surplombe la ville, est devenue une passoire aérienne traversée par une grande fissure. Elle est si perméable qu’après chaque pluie, la salle devient un lac où s’adonnent à cœur joie des crapauds et grenouilles en quête d’une joie confisquée par les riverains. Pis. Ce dôme ne tient que grâce à la magie des toiles d’araignées. Les belles bâches vertes qui laissaient tomber dans la salle la lumière et l’air ont subi la fureur des intempéries et se sont envolées à jamais. De près, le constat est ahurissant. Les portes d’accès aux bureaux du bas sont hermétiquement fermées comme la prison de Guantanamo avec de gros cadenas. Si tout le monde craint que le dôme s’écroule, cette peur ne semble pas inquiéter les occupants des salles du bas. Ainsi, l’Office National des Sports (ONS) occupe une salle pour des bureaux. Derrière, une autre salle abrite les locaux de la Fédération Ivoirienne de Basket (FIBB). Un peu plus loin se trouve celle d’escrime. Une fois dans la salle en haut, la scène est pathétique. Le beau cylindre (forme du palais), autrefois théâtre des nuits chaudes de boxe, handball, basket et autres sports dits ‘’mineurs’’ est aujourd’hui un océan de poussière. Il gît pèle mêle dans le désordre empuanti des cadavres d’animaux qui ont trouvé là un cimetière silencieux et reposant pour leurs âmes. La nature ayant horreur du vide, il s’est développé une véritable faune. Rats, souris, salamandre, cafards, araignées, fourmis et autres reptiles qui règnent en maîtres absolus y cohabitent génialement. Ils sont tellement engraissés qu’ils pourraient susciter une chasse urbaine. La nuit tombée, ils sont rejoints par les hiboux, les hirondelles, et les chauves-souris qui y trouvent une cachette pour être à l’abri de la fureur des ténébreux chasseurs en quête eux aussi d’une pitance quotidienne. Et le produit de leur défécation, exposée sur l’aire de jeu plonge la salle dans une puanteur exécrable de poulailler africain, changeant du coup sa coloration. En attendant le développement d’une flore luxuriante pour accueillir la riche faune afin d’équilibrer l’écosystème « in vitro » pour ne pas dire « in muro » ‘entre les murs), la vie animalière se passe bien. Des gants paillards fatigués des milles gongs donnés dans le vide de boxeurs furieux pour manque de salle et des chaussures déchiquetées au soir leur voyage périlleux dans un monde pénible montrent bien que certains courageux amoureux du noble art, en herbe, à la recherche d’une gloire illusoire et incertaine y viennent souvent pour humer la poussière. S’entraînent-ils ou s’enrhument-ils ? Les portes des vestiaires sont fermées. Quelle vie se mène à l’intérieur ? Seule satisfaction, les chaises en caoutchouc servant de sièges sont encore intactes. Et paradoxalement l’éclat des couleurs orange, blanc et vert est net. Un signe pour dire aux gestionnaires qu’ils peuvent tuer le Palais, mais pas la Nation. Tout au long des murs, les ingénieuses araignées rivalisent d’ardeur dans l’art de tisser les toiles. Celles exposées démontrent de leur dextérité d’une part et d’autre part de leur tranquillité. Elles livrent une concurrence rude à un peintre en herbe installé tout juste à l’entrée du Parc. Un peu plus haut. Les nombreuses ampoules qui illuminaient la salle sont à jamais éteintes. Que dire du gigantesque projecteur ? Il ne projette que de l’obscurité dans la salle. Le dôme suspendu menace de s’écrouler. Bien que les bureaux du bas soient éclairés, la salle de jeu, en haut traverse un délestage chronique. En fait de quoi souffre le palais ? Des dommages sérieux Selon le constat du ministère, le dôme menace de s’écrouler. Ainsi, pour motif d’affaissement, le Palais, temple des sports de mains a été fermé par le ministère suite à la correspondance n°625 du 22 juin 2007 du ministère de la construction, de l’urbanisme et de l’habitat faisant état d’une nouvelle rupture de la poutre. Il est à rappeler qu’en 2005, suite à de fortes pluies, le dôme avait été endommagé. La FIBB avait elle-même pris en charge les coûts des travaux. Mais comme, l’entretien n’a pas suivi, alors se sont développées d’autres maladies. Ainsi, aujourd’hui, il faut refaire la toiture, la terrasse (en bois ciré et non en caoutchouc pour un pays qui produit du bois), l’éclairage, les vestiaires, la peinture etc. En un mot, ré-no-ver le Palais. Avec moins de deux milliards, le Palais pourrait retrouver son éclat selon toujours les experts en construction. Etant une propriété de l’Etat, c’est l’Office National des Sports (ONS) qui a en charge la gestion de cette infrastructure. Malgré près 15% de la parafiscalité réservée pour l’entretien des infrastructures sportives, perçue par cette instance, rien n’est fait jusque là. Le Palais a beau crié, personne ne l’entend. A l’annonce de l’organisation du championnat d’Afrique de basket-ball par la FIBB, tous les sportifs ont pousser un ouf. Enfin, le Palais va retrouver son éclat, s’étaient-ils exclamer. Hélas. Oui mille fois hélas, ce grand événement qui devrait réhabiliter le Palais n’a pu avoir lieu L’organisation a été arrachée à la Côte d’Ivoire pour incapacité due, elle-même à la crise. Et le rêve doré des sportifs s’est mué en un cauchemar. A quand la réhabilitation du Palais ? Seul Dieu peut répondre à cette interrogation. En attendant, les jours passent et le Palais trépasse peu à peu au vu et au su de tous. Jean-Michel Méa mealesport@yahoo.fr Encadré Koré Moïse, la prophétie non réalisée Tous les Ivoiriens avaient placé leur espoir dans la personne de Korée Moïse, président de la fédération de basket. En fait, avec l’organisation de l’afro basket, il avait promis construire une salle de jeu moderne de huit milles places assises et rénover le Palais. Tous attendaient le début des travaux pour croire. C’était une prophétie venant de la bouche de l’homme de Dieu Korée Moïse. Et personne ne devait douter. Surtout, quand le quartier Washigton a été déguerpi de ses habitants, l’horizon annonçait un avenir radieux pour le Palais. Korée Moïse, étant devenu un prophète, les Ivoiriens lui adressaient leurs prières et le vénéraient déjà à l’idée de savoir que la Palais allait retrouver son lustre d’antan. Malheureusement l’organisation de l’afro basket a été retirée à la Côte d’Ivoire. La crise politico militaire en est la principale raison. La FIBB n’a pu réalisé les travaux dans le temps imparti. Et les Ivoiriens n’ont que leurs yeux pour pleurer. A quand une autre occasion si proche de réhabiliter le Palais ? Jean-Michel Méa mealesport@yahoo.fr Face à la fermeture du Palais des sports depuis plus de cinq ans, les sportifs se plaignent. Tous sont unanimes. La mort du Palais a tué les sports de main. Me Fofana Moussa, Me principal de Club Lagune de Port-Bouët « La fermeture du Palais a fait baisser le niveau du Taekwondo » Le palais était le seul lieu de retrouvaille des pratiquants de taekwondo. Vu sa situation géographique, tous les amoureux y venaient pour assister à nos compétitions. Et donc cela participait à la vulgarisation de ce sport. Quand Me Tonga Jules était président de la fédération, chaque week-end le Palais abritait des compétitions. Même après lui sous l’ère de Me Coulibaly Siaka, nous avons vécu de grands moments de taekwondo au Palais. Aujourd’hui avec la fermeture, nous allons au Forum de l’Université de Cocody, au Sapeur Pompier de l’Indenié ou à la Patinoire de l’Hôtel Ivoire. Des salles qui sont chères pour les clubs et la fédération. N’ayant toujours pas de moyens, le tækwondo baisse de niveau au fil du temps. Dosso Mékrokro, président de la fédération ivoirienne d’escrime « Sans infrastructures, on ne peut pas abriter de compétitions internationales ». « C’est inacceptable pour notre pays qui se dit une nation de sport » Nous sommes impatient de voir le Palais des sports rouvrir ses portes pour le bonheur les sports dits mineurs. Dans tous les pays du monde, les compétitions se déroulent dans des salles fermées, sauf ici où nous les faisons à l’air libre. C’est inacceptable pour notre pays qui se dit nation de sport. Toutes nos sollicitations pour l’organisation des compétitions internationales sont rejetées pour manque d’infrastructures. Nous avons une seule salle, et nous sommes incapables de l’entretenir, c’est honteux. C’est dommage pour le pays. Tous nos voisins ont des salles fermées équipées, même le Niger a une salle de jeu climatisée. Plusieurs fois le ministère a promis rénové le palais, mais en vain. Alors tant que je ne vois pas le début des travaux je ne peux pas croire à ça. J’espère qu’ils n’oublieront pas de changer le plancher. Le bois ivoirien sert à fabriquer tous les planchers des salles du monde. Et nous-mêmes les producteurs de ce bois, le nôtre est en caoutchouc. Mme Akpa Julienne, coach de « C’est scandaleux » C’est déplorable que notre seule salle ne soit pas réhabilitée depuis des années. Aujourd’hui, nous jouons dans des conditions difficiles. Autour de nous, les autres ont des infrastructures qui leur permettent de travailler aisément. Nous jouons encore sur du goudron. C’est normal qu’au niveau international, nous soyons dépaysés quand nous nous trouvons sur d’autres espaces de jeu plus modernes. Il y’a des années, nous battions le Sénégal, mais aujourd’hui les sénégalais ont bâti une bonne équipe parce que simplement ils ont travaillé dans de bonnes conditions. Tous nos voisins ont des salles de jeu modernes. La seule, qui faisait notre fierté est impraticable depuis des années et nous sommes incapables de la réhabiliter. C’est scandaleux. Vivement que cela soit fait rapidement pour le bonheur de tous. Yobouët Konan, président de la fédération de boxe « Après la politique, les autorités feront face aux travaux » Nous sommes les pus malheureux, car à l’origine l’espace où est planté le Palais était le siège du Boxing club. Depuis des années, nous faisons nos compétitions dans des conditions inacceptables et indignes d’une nation de sport. Avec de telles conditions, comment peut-on avoir des athlètes compétitifs au plan international ? Le ministre Banzio Dagobert nous avait promis la rénovation. Il n’a pu le faire, quand il a été appelé à d’autres fonctions. Son successeur, Mel Théodore a pris le dossier, nous n’avons rien vu. Aujourd’hui, nous attendons toujours. Nous espérons qu’après la politique, les autorités feront face aux travaux qui ne coûtent tout de mêmes pas les yeux de la tête. Propos recueillis par Jean-Michel Méa mealesportyahoo.fr
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26 mai 2011 4 26 /05 /mai /2011 19:47

 

 Tous à l’assaut de Bakayoko Adama

 

Le début du championnat national marque aussi celui de la course au titre de meilleur buteur. Bakayoko Adama, le détenteur du titre aura fort à faire devant des challengers de taille.

 

La course au titre de meilleur buteur de la Ligue 1 sera lancée ce week-end avec la première journée du championnat. Bakayoko Adama, le détenteur du titre a toujours la volonté de le conserver jalousement. Chose qui ne sera pas aisée vu les challengers de taille qui se présentent face au néo mimosas.

 

 Bakayoko, pour la confirmation

 

C’est sous les couleurs du Sabé de Bouna que le jeune Bakayoko a détrôné la couronne de meilleur fusil de la saison. Si Bouna est descendu au purgatoire, le « tueur » a, quant à lui, déposé ses valises chez les jaune et noir. Une maison qu’il connaît bien pour y avoir fait un bref séjour. Dans ses nouveaux atours, Adam’s ne se fera pas prier pour faire trembler les buts adverses. Il considère les gardiens de but comme des gibiers que lui, le « chasseur » doit abattre à tous les coups. Surtout que ses coups de fusils (15 buts) lui ont ouvert les portes de la sélection A, Adama ne veut pas manquer l’occasion d’y retourner. Mais attention, car, comme lui, d’autres attaquants rêvent de lui ravir le titre et ainsi entrer dans la petite famille des locaux sélectionnés en équipe A.

 

Halidou Garda, Yao Krizo, Zougoula Kevin, Broussou Kpéhi, Blagnon Goué…les challengers de taille

 

Dans sa quête de buts, Bakayoko Adama devra à chaque fois jeter un coup d’œil dans la besace de certains de ses concurrents. Le plus sérieux est en à point douter, Broussou Kpéhi. C’est à lui que Bakayoko a ravi le titre la saison dernière. Donc, Broussou arrive en revanchard devant le « tueur » mimosas. Comme par hasard, les deux ont obtenu leur titre sous les couleurs de Bouna. Et cette couronne les a conduit à l’Asec.

Aujourd’hui, pour plusieurs raisons, Broussou Kpéhi se retrouve chez les Militaires de la SOA. Toutefois, l’ancien goleador ivoirien demeure un poison pour les défenses.

Deux autres attaquants qui pourraient inquiéter Bakayoko Adama sont ses coéquipiers, Yao Krizo et Halidou Garba, tous deux nouvelles recrues.

Yao Krizo, le jeune attaquant aura tant fait parler de lui sous les couleurs de Hiré fc, qu’il a fini par convaincre les dirigeants mimos. Aujourd’hui, à l’Asec, Krizo veut confirmer son talent. A côté de lui, se positionne Halidou Garba. Baroudeur, ce véloce attaquant nigérien a fait trembler les filets en début de saison dernière. Même si par la suite, il s’était éteint, Garba demeure un renard de surface qui pourra déstabiliser toute défense, surtout  qu’il sera aux côtés de Bakayoko Adama. Mais attention, Garba est capable du meilleur comme du pire. Autant, il est succulent, autant le « garba » peut se mouiller à tout moment.

Côté vert et rouge, c’est Blagnon Goué qui viendra défendre les couleurs dans cette quête au titre de meilleur buteur. Le vieux briscard aborde cette saison avec la volonté de se faire respecter par les « petits ». Mais dans cette course effrénée, où le droit d’aînesse est foulé au pied et où il faut avoir du jus dans les jambes, Blagnon Goué devra se battre avec les jeunes.

 

Les feux sont au vert. La course est lancée. Et Bakayoko Adama s’est donné les moyens de succéder à lui-même. Quelles era donc l’issue de cette bataille ? Seules les réalités du terrain nous situeront.

Et surtout Bakayoko Adama doit éviter le « syndrome de buteur » qui anéantit la puissance des meilleurs buteurs quand ils arrivent à l’Asec. Broussou Kpéhi en a été une victime.  

 

Jean-Michel Méa

mealesport@yahoo.fr

tel: (225) 06 576 576

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26 mai 2011 4 26 /05 /mai /2011 15:42

 

 

No Asec-Africa, no « Classik’I »

 

Avec le système à deux poules cette saison, les sportifs ne verront pas le fameux derby entre les deux cadors du football ivoirien, l’Asec et l’Africa. Ils devront attendre la super division, si, bien sûr, les deux obtiennent leur qualification à l’issue des phases de poule.

 

No derby Asec-Africa, cette saison ? Cette question est sur les lèvres de tous les observateurs du football ivoirien.

En fait, cette année, les deux cadors, l’Asec et l’Africa sont les têtes de poules. Par conséquent, le public ne verra pas le fameux choc, entre les deux grands ivoiriens. Il faut attendre la super division, si, bien sûr, Mimos et Oyés obtiennent le ticket pour voir ce classico à l’ivoirienne, le « Classik’I ».

Sur papier, il ne devrait pas avoir de problème normalement. Qui peut empêcher l’Asec et l’Africa d’être dans le dernier cercle des privilégiés.

Mais, attention, le football offre parfois de vilaines surprises. D’où l’inquiétude de certains sportifs. Or un championnat sans derby Asec-Africa n’en est pas un.

Cette saison étant exceptionnelle, les sportifs ont peur que cette exception ne se vérifie sur le derby.

 

Jean-Michel Méa

 

225 40738196

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26 mai 2011 4 26 /05 /mai /2011 14:49

 

« Enfin, nous sommes prêts »

 

La Commission Centrale des Arbitres a organisé hier, au Champroux, le dernier test physique réservé aux arbitres régionaux. Enfin, la CCA a ses hommes en noir sont prêts pour les championnats L1, L2 et D3.

 

 

 Enfin, les arbitres régionaux ont effectué leur test physique après plusieurs reports dus à la crise. C’était hier au stade Robert Champroux de Marcory. Ils sont venus de toutes les commissions régionales d’arbitres du pays pour prendre part à ce grand rendez-vous de test physique. Sous la pluie, les Régionaux ont subi la fameuse épreuve des 5 km reparties en tranche de 150m à parcourir en moins de 30 secondes. La pluie ayant rendu la chaussée glissante, les responsables de la CCA ont été obligés de surseoir à l’épreuve de vitesse, pour éviter des blessures. Cette activité met fin aux séances de test physique tant détestée par les arbitres (pour cause d’élimination) et par la CCA (trop coûteuse). Ouf, à deux jours du début de la Ligue 1 et à huit jours de celui de Ligue 2 et de D3, la CCA a ses hommes pour débuter les championnats nationaux. « Nous sommes enfin prêts. Pour la Ligue 1, nous avons une liste de 20 arbitres et de 24 assistants. Dans les jours à venir, nous arrêterons celles des arbitres de Ligue et des régionaux. Mais pour les premières journées de L2 et de D3, nous avons les hommes qu’il faut », avance Kouakou N’dri, président de la CCA. En ce qui concerne les arbitres de Ligue recalés lors de leur test le 12 février dernier et qui se plaignaient de n’avoir pas refait le test hier, « Nannan Ndri » est clair et formel. « Seuls les arbitres fédéraux recalés lors de leur test, parce qu’ils sont l’élite, ont eu droit à une autre chance, hier. C’est un privilège du à leur rang. Et ça se fait partout. Les arbitres de Ligue n’ont pas cet avantage. C’est fini pour eux », martèle t-il. Les derniers acteurs des championnats qui laissaient planer un doute sur la qualité du jeu sont enfin blets. Alors place au jeu à partir de demain.

 

 

KOUAKOU N DRIJean-Michel Méa tel:(225)06576576 ou (225) 40 73 81 96 mealesport@yahoo.fr

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25 mai 2011 3 25 /05 /mai /2011 19:25
20 Eléphanteaux attaquent les Simbas congolais La liste des 20 Eléphanteaux qui attaqueront le Congo en match aller du second tour des Jeux Olympiques 2012 a été publiée. Ce sont 20 2léphanteaux espoirs qui iront au Congo pour défier les…. en match aller du second tour des JO 2012 le 5 juin prochain. C’st Zahoui François, le sélectionneur des seniors qui conduira les Olympiques ivoiriens au Congo, vu que Gouaméné Alain est occupé avec les cadets pour les préparations du Mondial. Ils a convoqué 2 gardiens, 6 défenseurs, 7 milieux et 5 attaquants, tous des professionnels. Le garien Cissé Adama de l’Asec et Kouakou Aubin de Tunisie n’ont pas été appelé. Leur prestation lors du match conte le Liberia n’a pas convaincu Zahoui et son staff. Le seul nouveau dans ce groupe est Saé Bakary de CFR Cluj. Ce excellent milieu de terrain apportera du sang neuf aux Eléphants Espoirs. Comme Ivoiriens et Congolais, 14 autres pays africains seront en attraction surtout les stades du continent. Et seulement 3 auront le privilège de représenter le continent noir aux Jeux Olympiques à Londres en 2012. Un 4è ; éventuellement pourrait les accompagner s’il arrivait à battre le représentant asiatique lors d’un mach de barrage, le 12 avril 2012. Jean-Michel Méa 225 06 576 576 ou 225 40 73 81 96 mealesport@yahoo.fr Rencontre Algérie – Zambie Maroc v RD Congo Congo – Côte d’Ivoire Gabon – Mali Soudan – Egypte Bénin – Afrique du Sud Tunisie – Sénégal Tanzanie – Nigeria Liste des joueurs Gardiens KonéBrahim(Boulogne-Sur-Mer) TahourouClovis(AFAD) Défenseurs Djadje Brice (Evian tg) Bamba Abdoulaye(Dijon) Bagayoko Mamadou (Slovan Bratislava) TouréCheickSékou (Fulham) Diabaté Zié (Dynamo Bucarest) Ali Bamba Vanomo (Le Mans) Milieux Kone Moussa (Us Foggia) Tie Bi Eric (Evian Tg) Meite Yacouba (FC Sion) Kouassi Laglais (Servette) Sio Giovanni (FC Sion) Soumahoro Yaya (Gent) Sare Bakary (CFR Cluj) Attaquants Deble Serge (FC Nantes) Diomande Vamouti (Sandefjord) Lago Junior (Sdeibar) Manset Mathieu (Reading FC) Traoré Lassina (FC Kuban)
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