Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
3 janvier 2012 2 03 /01 /janvier /2012 12:26

DSC_5090--2-.jpg

Eugène 1er appelle au pardon

Le Seigneur Eugène 1er, fondateur du centre charismatique hospitalier a célébré la nuit de la Saint-Sylvestre avec les populations de N’Dénou, un village de la sous-préfecture de Taabo. La forte délégation du docteur Eugène 1er  a été accueillie en fanfare par les fils et filles du village, avec à leur tête les cadres de la région .

Dans ce beau petit village, recroquevillé derrière le barrage de Taabo, le triple meilleur homme de Dieu d’Afrique a prôné le pardon entre les habitants, lors d’une grande veillée de prière dite à la place publique du village. Cette rencontre œcuménique a rassemblé 4 communautés religieuses (les catholiques, méthodistes, les Déhima, le centre charismatique et la communauté musulmane). Chaque leader de communauté a prêché pour la paix et l’harmonie dans le village et au-delà, dans toute la Côte d’Ivoire et le monde. Le Seigneur Eugène 1er, lui, s’est plutôt appesanti sur le pardon. Il a demandé aux populations ivoiriennes de se pardonner. « Si le seigneur demande de pardonner, cela veut dire que le pardon est à notre portée. Le pardon nous permet de nous ajuster à la perfection de Dieu. Un foyer, une famille ou une communauté où il manque le pardon, constitue un danger. Si le christ lui-même, a tué la haine en sa chair, pourquoi devons-nous ressusciter cette haine en refusant de pardonner. », s’est interrogé le leader charismatique. Par ailleurs, Eugène 1er  a lancé un appel à la jeunesse. « Chers amis jeunes, c’est vous qui aimez br aver le pouvoir et défier les autorités, pourtant c’est vous les premiers bénéficiaires de la paix, sans laquelle vous risquez de vous faire gouverner par les enfants de ceux qui  ont gouverné vos parents et qui vous gouvernent aujourd’hui. C’est pourquoi vous devez savoir que le secret du bonheur réside dans l’amour et commence par le travail. Vous devez vous mettre à l’abri de tous les maux en cherchant les vertus de l’obéissance, du respect des autorités et des parents… Et surtout du pardon. », a laissé entendre le fils de Dieu.

Avant ce grand moment de communion, dans la matinée, le Seigneur Eugène 1er a joint à l’évangélisation, des actions concrètes de développement. Ainsi, aidé de Dr Sako Mamadou, président de l’Organisation internationale pour l’environnement, le bien être social, la santé et la lutte contre le handicap (Oiebes-h), et du ministère de la Santé, le chef du centre hospitalier charismatique a offert 2 millions 500 mille francs aux populations. Cette somme devra permettre l’achèvement du dispensaire et au financement des projets de jeunes et de femmes ainsi qu’aux besoins de la chefferie. Il a aussi annoncé l’équipement de ce futur dispensaire en matériels et en médicaments.

C’est en chant et danse, avec l’espoir que leur village connaisse un avenir meilleur, que les 1.500 âmes de N’dénou ont observé les rayons du premier soleil de l’année 2012.

Jean-Michel Méa, envoyé spécial à N’Dénou (Taabo)

 

Partager cet article
Repost0
2 janvier 2012 1 02 /01 /janvier /2012 21:40

ADO.JPG

Le Président Ouattara promet plus de sécurité en 2012

Les dernières heures de l’année 2011 ont été vécues dans la ferveur totale par les populations ivoiriennes, en dépit des difficultés financières. A Abidjan, le district a offert un gigantesque feu d’artifice à nulle autre pareille. Dans les nuits de vendredi et de samedi, les Abidjanais ont pris d’assaut les rues du Plateau et les deux ponts pour  admirer la Perle des lagunes, devenue, la Perles des lumières. Vieux, enfants, jeunes et femmes, venus de toutes les communes, sans distinction, ont répondu à l’appel du gouverneur Beugré Mambé. En chant et danse, parfois en larme, ils ont passé le cap 2012. Tous ont émis des vœux de paix et de prospérité en espérant que la lumière produite  illuminera les cœurs et leur quotidien pour les 365 nouveaux jours.

Dans les villes de l’intérieur, l’ambiance était aussi à la hauteur de l’événement. A Abengourou, Guiglo, Bouaké, Man, San Pedro, Gagnoa, Dimbokro, Dabou etc, les populations ont « enterré » 2011 dans la joie et l’allégresse. Toutes se réjouissent de la fin de 2011 qui aura été particulièrement difficile pour la Côte d’Ivoire. Tous les vœux se rapportent à l’arrivée d’une année de paix et de relance économique.

 

Dans les églises et autres lieux de cultes, les chefs religieux, ont appelé les fidèles à l’amour, au pardon et à la réconciliation. Dans les maquis et bars, l’alcool a coulé à flot pour « noyé » 2011 dans les méandres de la nature, en émettant des vœux de stabilité et de joie.

Le chef de l’Etat, Dr Alassane Ouattara, a abondé dans le même sens, lors de son message à la Nation, samedi. Il s’est engagé à renforcer la sécurité des populations et des biens.

 « Chaque Ivoirien peut vaquer tranquillement à ses
occupations, en dépit de quelques dérapages de certains éléments des FRCI. (...) Nous avons pris des mesures énergiques à cet égard, notamment la création dune police militaire, pour y remédier »,
a rassuré le président Ouattara.
Parlant de la relance économique, le chef de l’Etat a déclaré que la Côte d’Ivoire est «  au travail ». Elle est sur la « bonne voie » pour la relance de ses activités économiques. Cela se vérifie par les grands chantiers entamés sur l’ensemble du territoire national. Ces vastes chantiers offriront, non seulement de l’emploi à des milliers de jeunes et de femmes mais, en plus, ils contribueront à l’amélioration du quotidien des populations ivoiriennes.

 

Jean-Michel Méa

 

 

Partager cet article
Repost0
13 décembre 2011 2 13 /12 /décembre /2011 18:00

afad--AFRICAIN.JPG

Afad, Séwé, Africa, voici vos adversaires

L’africa, l’Afad et le Séwé Sport, les représentants ivoiriens en coupes africaines connaissent leur adversaire pour les préliminaires. L’asec, lui attend encore le 2è tour.

La Confédération Africaine de Football (Caf) a publié le programme des tours préliminaires de ses compétitions. En Coupe Caf, le Séwé Sport de San Pédro sera face à Unisport Haut Nkam du Cameroun. Le représentant ivoirien recevra le week-end du 17 au 19 février prochain les Camerounais avant de s’envoler pour Yaoudé deux semaines plus tard (entre le 2 et 4 mars). Le Séwé Sport pour sa 2è qualification de suite à cette compétition entend jouer les premiers rôles. Pour arriver les hommes du président Eugène Diomandé devront absolument s’imposer à domicile avant d’aller négocier le retour en terre camerounaise. L4Asec Mimosas, l’autre club ivoirien disputant la Coupe Caf est exempte. Les Mimosas entreront en lice au tour suivant.

En Ligue des Champiosn Orange, l’Africa Sports, le champion et son dauphin l’Afad entreront en scelle dans le wweek-end du 23 au 25 mars. Les Oyés seront en déplacement au Gabon pour affronter Missile. Ce club gabonais peu connu des Ivoiriens, veut inscrire son nom dans les anales du football africain en « bombardant » des grands clubs comme l’Africa. Avertis, les poulains du Coach Toto Nobilo devront s’armer « d’anti-missile ». Si l’Africa a affaire à des soldats, l’Afad, son dauphin, lui sera face à des extra terrestres, des diables. Les Académiciens, recevront en effet, en match aller les Diables Noirs du Congo, le même week-end. Une victoire, à Abidjan, s’impose aux Académiciens, sinon leurs premiers pas en coupe d’Afrique seront très difficiles vu que le tour au Congo s’annonce comme un voyage en enfer.


 Jean-Michel Méa

Partager cet article
Repost0
13 décembre 2011 2 13 /12 /décembre /2011 17:57

Tel’A 2011

Volcan en or

En battant Ivoire Académie, samedi au stade Robert Champroux 2-0, Volcan Fc remporte ainsi le trophée du Tournoi International des Lagunes D’Abidjan (Tel’A 2011). Les amoureux du football ont annoncé une soirée riche en émotion. Au finish, deux coups de pates de Dao Junior ont suffi à Volcan d’étriller les Académiciens venus de Jacqueville. D’abord, c’est une boulette du gardien….qui offre le premier but à Dao Junior. Par la suite, sous une pluie battante, l’équipe de l’ancienne gloire Dao Lacina enfonce le clou par le même Dao. Impuissante et méconnaissable Ivoire Académie conduite par Zachariassen n’a pu trouver les armes pour se défaire des larves du volcan. Les poulains de Dan arborent ainsi la médaille en or, à l’issue d’un tournoi qui aura regroupé 8 équipes dont Kozaf venue du Burkina-faso, Feynoord Academy du Ghanan et Grest Academy du Nigéria.

 

Jean-Michel Méa

Partager cet article
Repost0
13 décembre 2011 2 13 /12 /décembre /2011 17:53

Roly-Brela-1.jpg

Show-biz / Sortie d’album

Roly Brela dévoile son « Héritage »

Le monde culturel et du show-biz ivoirien enregistrera l’entrée en scène d’une nouvelle étoile. Roly Brela, à l’état civil, Aurélie Broh Paule Estelle, a fait des études en communication. Mais piquée très tôt par le virus de la chanson, elle fini par entrer en studio chez Germain Kouakou à Koumassi, où elle sort une galette musicale de quatre titres, dont le titre éponyme « Ya fité nou », une composition tradi-moderne, chantée en langue locale, baoulé. Dans son album, intitulé « Héritage », elle aborde des thèmes comme l’amour, le péché, Jésus, la réconciliation avec Dieu, l’ardeur au travail. Fane de Céline Dion, elle chante excellemment bien en slow.  Les titres « On se verra », « Tu es couché » et « Péché », en son de parfaites illustrations. « Héritage » de Roly Brela dont la sortie est annoncé pour bientôt, est une balade musicale aux sonorités ensorcelantes et envoutantes.


Photo légendée : Roly Brela, la déesse de la savane.

 

 

Partager cet article
Repost0
13 décembre 2011 2 13 /12 /décembre /2011 17:51


Le district habille Abidjan et oublie la lagune


Le district d’Abidjan procède depuis quelques jours à la décoration de la commune du Plateau, en prélude aux fêtes de fin d’année.

Le district d’Abidjan s’est engagé à arborer la ville d’Abidjan d’un nouveau manteau, plus reluisant et festif à quelques jours des fêtes de fin d’année. Le Plateau, sa « capitale », est l’objet d’un « nettoyage à sec ». Les rues sont embellies par des guirlandes, installées sur les réverbères. Au quotidien des hommes et femmes sillonnent la commune pour le ramassage des ordures. Hier, matin, des femmes ont profité du calme au Plateau pour faire de vastes opérations de nettoyage de toutes les artères. Les deux ponts n’ont pas été oubliés. Un décor spécial est en place sur les lampadaires et les Abidjanais imaginent la splendeur qui leur sera servie lors de la célébration de la fête de Noël et de la nuit de la Saint Sylvestre. Sur le boulevard Lagunaire, au niveau de la gare lagunaire des bus, un magnifique décor est installé. Sur le boulevard Valery Giscard D’Estaing, à Marcory, d’autres installations sont prévues. Déjà, au carrefour Solibra, un décor est positionné. L’objectif assigné au gouverneur Beugré Mambé et ses collaborateurs est de permettre aux Abidjanais de passer des fêtes dans un bel environnement. La traditionnelle nuit de réveillon de nouvel an avec les feux d’artifice est attendue impatiemment par les populations.

Jean-Michel Méa

La lagune, l’autre oubliée

La lagune est l’élément caractéristique de la ville d’Abidjan d’où son nom « Perle des lagunes ». Depuis des années, la ville ne reflète plus la perle mais plutôt la peine des lagunes. Aujourd’hui, les autorités politiques tentent de lui redonner sa splendeur. L’opération « pays propre » conduite par la ministre de Salubrité Urbaine, Anne Désirée Ouloto, a permis de l’assainir grandement. Le district aussi a entamé des actions d’embellissement. Mais, toutes ces initiatives ne prennent pas en compte la lagune. Pourtant,  la lagune se meurt. Elle est surpolluée. De Yopougon à Koumassi, les populations y déversent leurs ordures. Un tour dur le boulevard Lgunaire suffit à convaincre tous les sceptiques du danger sui guettent les Abidjanais. Mais cela ne semble pas déranger les autorités politiques nationales encore moins celles du district. Côté ministère de la Salubrité, l’on vous revoie au Centre Ivoirien Anti-Poluution (Ciapol). Ce dernier reste jusqu’à présent muet. Plusieurs études ont été menées pour « laver » la lagune. Mais, aucune action n’a encore vu le jour. A mesure que les jours passent la lagune se pollue et Abidjan devient de moins en mois « Perle des Lagunes » et de plus en plus « Peine des lagunes ».   

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Partager cet article
Repost0
13 décembre 2011 2 13 /12 /décembre /2011 17:49

policiers.jpg

Sécurité nationale

L’école de police cherche  formateurs

L’Ecole Nationale de Police, a lancé un appel public à manifestation d’intérêt, pour la mise en œuvre d’un projet de formation éthique et morale des policiers ivoiriens. Objectif, redonner une nouvelle image aux agents de forces de l’ordre.

Changer les comportements des policiers, tel est l’objectif visé par l’Ecole Nationale de Police. Pour y, elle a procédé à un appel public pour réaliser un projet de formation des agents de force l’ordre, dénommé « un des meilleurs policiers de Côte d’Ivoire ». Cette formation concernera les policiers de tout grade. Ces agents seront instruits sur les exemples de bonne conduite. Longtemps décriés pour leur comportements sur me terrain, les policiers auront là l’occasion de redorer leur blason. L’ENP, chargée de leur formation, y est déterminée. Elle veut, à travers cette formation, engager les policiers ivoiriens dans la dynamique de relance économique et de réconciliation nationale. Le policier, garant de l’ordre de la sécurité ne doit pas rester en marge des évolutions politiques. Certes, l’ENP souhaite l’implication de tous les acteurs de développement (société civile, ONG, entreprises publiques et privées, institutions nationales et internationales) dans la réussite de ce projet, mais, en premier elle compte sur la participation des policiers à participer à l’amélioration de leur propre image. Ces derniers devront faire leur méa-culpa avant de s’engager dans un nouveau pacte avec les populations ivoiriennes.

 

Jean-Michel Méa


Leg : l’Ecole Nationale de Police veut donner une nouvelle image aux policiers  à travers une formation

Partager cet article
Repost0
13 décembre 2011 2 13 /12 /décembre /2011 17:47

Fêtes de fin d’année

Les pétards créent la panique

Les pétards communément appelés « bangers » ont refait surface avec les fêtes de fin d’année. A chaque détonation de ces « petites bombes »,  les populations paniquent. Elles sont victimes de la psychose de la guerre.

Abidjan vit déjà l’approche des fêtes d’année avec son ambiance festive. Dans cette atmosphère, les pétards ont refait surface. Partout dans les communes et même à l’intérieur du pays, ces « petites bombes » appelées « bangers », sont très prisés par les enfants. Ces jouets ont une forte détonation pareille à celle des armes à feu. A chacune de ces détonations, les populations sont apeurées. Elles replongent dans la psychose de la crise avec les crépitements d’armes. Mais, cette panique générale ne semble pas émouvoir les adeptes de cette « guerre des jouets », les autorités encore moins les revendeurs qui en ont fait un fonds de commerce.

    La guerre des bangers

Comme si les bruits des armes, servis lors de la crise, n’ont pas suffi, les enfants ont trouvé le plaisir d’éclater les pétards pour perturber le silence déjà douloureux des populations. Ce phénomène de crépitement de « bangers » pourrait être, à juste titre, appelé, la « guerre des banger ». En tout cas, tout porte à croire que c’est une véritable guerre que se livrent les enfants. A chaque détonation d’un tel, un autre répond. Et cette volonté de riposter à chaque « tir », laisse la ville sous les « tirs ». Le drame, c’est que certains de ces pétards ont jusqu’à 4 « coups » et pis, ils ont les mêmes effets sonores que les armes à feu, notamment les kalachnikovs. Ces détonations replongent les populations dans la psychose des heures chaudes de la crise où les kalachnikovs « chantaient » à tous les coins de rue. Et pour plus de dégâts, ces enfants explosent les pétards dans des endroits publics tels des marchés et les gares. Dans un recoin, ils lâchent l’objet et fondent dans la nature. Le souvenir douloureux associé au fait que des armes crépitent encore dans la ville entraine des grandes peurs et des débandades indescriptibles. Plusieurs personnes auraient même piqué des crises cardiaques. Mais, les adeptes n’en ont cure.  C’est à croire qu’ils sont obsédés par ces bruits d’arme. Sinon comment comprendre ce fol amour pour ces petites bombes. Et, au moment où les grandes personnes apeurées sont dans la panique, les enfants, eux, se réjouissent de leur acte. Folie ou amour, difficile de répondre. Une chose est certaine, si ces pétards n’étaient pas vendus, ils n’auraient pas achetés.

Avec 25 F, tout enfant peut s’en procurer chez des revendeurs à tous les coins de rue. Au nez et à la barbe des agents de force de l’ordre et autres policiers municipaux, le trafic se fait sans crainte aucune. Toutes ces autorités attendent que les dégâts soient énormes avant de prendre une mesure d’interdiction des « bombes infantiles ».

 

Jean-Michel Méa

Partager cet article
Repost0
13 décembre 2011 2 13 /12 /décembre /2011 17:46

Après OneX, Qnet, LSDA arrive

La Station Des Affaires section Côte d’Ivoire (LSDA) procède ce matin au lancement officiel de ses activités. Cette cérémonie de présentation se tiendra à la villa 157 du Plateau Dokui, Carrefour Policier. Cette société mondiale de communication allie à ses activités d’informations, celle de marketing de réseau. Elle  vient donc s’ajouter à la série de compagnie de marketing de réseau (One X, Qnet, Ema22…) qui sont représentées en Côte d’Ivoire. Pour ses premières heures de vie, LSDA a déjà reçu de nombreuses sollicitations des Ivoiriens. La Particularité de LSDA est qu’elle présente deux options. D’une part, le membre peut choisir de n’être qu’un « partenaire passif », c’est-à-dire être un membre du réseau qui incapable de développer lui-même son équipe de réseau, laisse ce soin à La Station Des Affaires de le faire à sa place. D’autre part, le membre peut devenir un partenaire. Ce qui signifie que contrairement au partenaire passif, le membre accepte volontiers de faire venir six autres personnes ou affiliées LSDA. Dans ces conditions, le membre perçoit les rémunérations mensuelles immédiatement après le recrutement de ses 6 fieuils. Or, dans le cas de « partenaire passif », la compagnie construit l’équipe du membre, certes, mais, celui-ci est tenu d’observer une attente de 4 mois avant de percevoir ses mensualités. Il faut noter que le partenaire aura un revenu double de celui du partenaire passif, revenu évalué à 2.250 euros soit environ 2.500.000 F par moi. Pendant que le partenaire se tire avec un revenu mensuel oscillant entre 520.000 F et 786.000 F. Et puisque le partenaire a pris l’habitude recruter, son revenu va grandissant dans la mesure où il n’est pas confiné à une restriction de 6 fieuils.  

Partager cet article
Repost0
13 décembre 2011 2 13 /12 /décembre /2011 17:44

 

Le FNS se marie au CGA et aux promoteurs

 

Le Fonds National de Solidarité a signé une convention de partenariat hier, dans ses locaux à Cocody 2 Plateaux avec le Collectif des Centres de Gestions et les promoteurs.

 

En apposant sa signature sur le document, Franck Dogoh Madou, directeur du Fonds National de Solidarité (FNS) engageait sa structure dans une convention de partenariat avec d’une part le collectif des Centres de Gestions Agrées (CGA) et d’autre part avec des promoteurs qui ont bénéficié du financement de l’institution. Cette cérémonie de signature s’est tenue hier dans les locaux de la dite structure à Cocody 2 Plateaux. Dès lors, le collectif des CGA aura une exonération fiscale. En retour, le CGA s’engage à assister et « coacher » les promoteurs financés par le FNS dans la gestion de la comptabilité, de la fiscalité et de la formation. S’agissant des promoteurs, le protocole indique les conditions de contrôle et de suivi-encadrement de leurs activités par le FNS.  Ce «  mariage » tissé par la direction du FNS, a pour but de sécuriser les financements octroyés aux promoteurs. Il les oblige aussi au respect de leurs engagements face aux  nombreux risques ( mauvaise gestion, non remboursement de crédit ou cessation d’activité).  Franck Dogoh a profité de la rencontre pour établir un bilan des 8 années d’existence de son institution. Pour le Dg, le « niveau d’intervention en terme de projet financés est faible ». A cela s’ajoute un niveau « insuffisant de recouvrement des crédits octroyés ». « La faiblesse de l’encadrement des promoteurs financés et du suivi du remboursement des crédits consentis est l’une des principales raisons pouvant expliquer une telle contre-performance », a avancé le DG comme raisons. Conscient de cet handicap, Franck Dogoh s’est engagé à adopter une nouvelle stratégie. « Dans le cadre des nouvelles orientations actuelles du FNS, qui vise à en faire un instrument efficace et moderne au service des jeunes, entendons nous renforcer ce dispositif opérationnel dans ses volets suivi et encadrement des promoteurs dans la phase d’exploitation de leurs activités, jusqu’à leur consolidation organisationnel et financière ».

Mme Amoikon Béatrice présidente du collectif des CGA  et Boni Maxime, des promoteurs se sont réjouis de cet accord et se sont engagés pour un « mariage » heureux. Quant à Essoh Frédéric, représentant le ministre de la Promotion de la Jeunesse et du Service Civique, Alain Lobognon, il a indiqué l’attente du gouvernement de voir accroitre le nombre de projet financé par le FNS.

 

Jean-Michel Méa

 

 

 

 

 

Partager cet article
Repost0